Pôle Haouz : «Les Hauteurs de Toubkal»

Cet écosystème propose une expérience «Sport» et «Aventure» riche et diversifiée, de vallée en vallée. Les actions à réaliser mettent en valeur la splendeur des massifs du Grand Atlas. Pour rendre cet écosystème plus compétitif à l’international, un projet structurant est prévu : développer une station récréative et sportive à l’Oukaïmeden

Asni

La vallée d’Asni se trouve à 47 km au Sud de Marrakech, à plus de 1 150 m d’altitude. A Asni démarrent plusieurs circuits de découverte des vallées d’Al Haouz, du Parc National de Toubkal et de l’ascension du Jbel Toubkal

Imlil

Village berbère à 1 740 m d’altitude, aux portes du Parc National de Toubkal, Imlil est un point de départ vers le Jbel Toubkal (plus haut sommet de l’Afrique du Nord). On y accède depuis Marrakech via Asni et depuis Taroudant par le col du Tizi N’Test

Parc National de Toubkal

Ce Parc est le premier du genre réalisé au Maroc, créé en janvier 1942 dans le Haut-Atlas, l’un des territoires les plus riches en biodiversité, afin de préserver les plus hauts sommets de l’Atlas, dont le Jbel Toubkal ; les belles forêts de chênes verts et de genévriers thurifères de la région ; une faune remarquable (mouflon à manchettes, aigle royal, truite fario) ; et les sites pittoresques du versant Sud, dont le lac Ifni.

Cette aire protégée offre une flore unique, dont de très belles pelouses humides d’altitude caractéristiques du Haut-Atlas. La diversité floristique et écosystémique a permis une faune très variée, dont la plus importante population de mouflons à manchettes d’Afrique du Nord. Sous climat méditerranéen, il comporte des sommets rarement aigus, de larges plateaux, d’énormes escarpements et de profondes vallées et gorges. Les roches dures volcaniques sont des plus curieuses : dénudées et sombres, avec d’intenses fragmentations formant de vastes éboulis

Jbel Toubkal

Le massif du Toubkal est constitué de roches diverses, notamment volcaniques sur les sommets. Des glaciers ont laissé sur leur passage des vallées en auge. Le Jbel Toubkal est gravi sans difficulté depuis longtemps et considéré comme un lieu saint, dédié à Sidi Chamharouch ; plusieurs cairns au sommet en témoignent et un sanctuaire lui est consacré sur le chemin d’Imlil

Tachddirt

Au cœur du Parc National de Toubkal, à 2 454 m d’altitude, le village est entouré de forêts de bouleaux, genévriers et saxifrages. Tachddirt est connu pour la beauté de sa vallée où l’on pratique la randonnée et le trekking

Oukaïmeden

Principale station de sports d’hiver du Maroc, avec une vingtaine de pistes de tous niveaux, elle se situe à 80 km de Marrakech, dans le Haut-Atlas. A 2 620 m, c’est la plus haute station d’Afrique. La saison de ski dure de décembre à mars. En 2014, la chaîne CNN classe la station dans son Top 100.

Oukaïmeden porte des potentialités et richesses naturelles remarquables, ainsi que de nombreuses opportunités de développement, notamment d’activités récréatives. Grâce à de projets publics-privés, pour améliorer son attractivité touristique, la nouvelle station offrira des produits «Aventure», «Nature» et «Culture» toute l’année, engageant la communauté locale selon les principes de durabilité. Le programme prévoit plusieurs axes : réorganisation des fonctions (ski, activités, marché local, services, parking, zone piétonne, etc.), professionnalisation, animations (ludiques, sportives, de nature et expérientielles) et hébergements, amélioration de l’accès, actions environnementales… Le projet (un investissement total de 230 MDh) doit attirer des milliers de visiteurs et créer des centaines emplois directs et indirects. Développé selon un modèle évolutif, il valorisera les ressources de l’Oukaïmeden et des alentours.

Il créera un produit touristique au rayonnement fort et distinctif  et installera une dynamique économique à même d’améliorer les conditions de vie des habitants (emplois, valorisation des produits locaux, activités génératrices de revenus, dynamique commerciale…) ;

Cette valorisation attirera davantage d’investisseurs et créer une vraie valeur ajoutée locale et régionale

Pôle Haouz : «La Vue Bleue»

Sur cet écosystème, les actions à engager visent la valorisation touristique de diverses ressources sous le thème «Eau». Il s’agit d’enrichir l’offre autour du barrage Lalla Takerkoust, de la vallée d’Amizmiz, des plateaux de Kik et d’Aguergour. Des produits écotouristiques sont à développer (parcours pédestres, parcours en vélo-route, parapente, etc.). La lisibilité est assurée par une charte signalétique spécifique et par le Centre d’interprétation de Moulay Brahim qui valorisera les atouts touristiques

Moulay Brahim

Le village occupe un éperon rocheux à l’extrémité orientale du plateau de Kik, surplombant la vallée de la Ghighaya qui coule 200 m en contrebas. La zaouïa du soufi Moulay Brahim fut fondée en 1628 sous le règne du Sultan Zidan Abu Maali dans le village de Kik, devenu Moulay Brahim

Plateau de Kik

Dominé par le Haut-Atlas et ses sommets à plus de 4 000 m, il offre de magnifiques panoramas sur le massif du Toubkal. Le plateau surplombe Asni et le barrage Lalla Takerkoust. Les maisons épousent les pentes et se fondent dans le paysage

Amizmiz

Village berbère au Sud-Ouest de Marrakech, où alternent verdure et aridité, Amizmiz est au centre d’un ensemble de douars célèbres par leurs productions agricoles (noix et grenadine, mais surtout huile d’olive). La localité est réputée pour sa faune et sa flore d’exception. Les montagnes boisées dominant Amizmiz abritaient autrefois une faune riche et diverse, dont le lion de l’Atlas, le léopard d’Afrique du Nord, la hyène rayée, le mouflon à manchettes et la gazelle Dorcas

Plateau Aguergour

Situé à 40 km de Marrakech, c’est le site de parapente le plus prisé au Maroc. On y vole quelle que soit l’orientation du vent

Lalla Takerkoust

Le site se trouve sous le barrage de Lalla Takarkoust construit entre 1929 et 1935 pour irriguer la plaine du Haouz et produire de l’électricité sur l’oued N’fiss. C’est un îlot de nature au pied de l’Atlas. Le développement des activités sportives et artistiques sur le lac contribuera à l’essor touristique du site. Beaucoup d’habitants de Marrakech et de touristes s’y rendent pour fuir les grandes chaleurs et se baigner

Azeggour

Localité, au Sud d’Amizmiz, Azeggour est connue pour ses paysages arides

Ouirgane

A environ 60 km de Marrakech, la vallée de Ouirgane est encadrée par les contreforts du Haut-Atlas et un grand lac artificiel au coeur d’un paysage alpestre. Elle s’étire sur plusieurs kilomètres le long de la route du Tizi N’Test. Relativement isolée jusqu’à la construction du barrage, de nombreuses unités d’hébergement et de restauration s’y sont développées. C’est aussi un point de départ pour des randonnées

Pôle Haouz : «Muséum d’Histoire Naturelle»

Les paysages naturels et le patrimoine historique (comme la mosquée de Tinmel) de cet écosystème touristique sont valorisés à travers des circuits thématiques historiques et cultuels qui sont mis en valeur. Cette lisibilité de l’écosystème améliore l’attractivité. Un Musée du Grand Atlas Occidental contribuera à la mise en valeur de la richesse patrimoniale matérielle et immatérielle des montagnes de l’Atlas

Tahannaout

A plus de 30 km au Sud de Marrakech, c’est le point de départ pour découvrir la plupart des localités de la Province. Il abrite le Centre d’accueil touristique

Ijoukak

A quelques kilomètres à l’Est de Tinmel, Ijoukak est situé sur la route reliant Marrakech à Taroudant par le col du Tizi N’Test, dans la haute vallée de l’oued N’fiss, à 1 200 m d’altitude. La vallée appartenait à la tribu Goundafa, dont les Kasbahs sont visibles en amont sur les deux rives

Tinmel

Village d’origine de Mohammed Ibn Toumert, Tin Mellal fut, au début du XIIème siècle, le point de départ des campagnes militaires almohades contre la dynastie almoravide. Avec la prise de Marrakech en 1147, Tinmel devint un lieu de pèlerinage essentiel. Une grande mosquée fut érigée en mémoire de Mohammed Ibn Toumert. Les mausolées des trois premiers califes almohades s’y trouvent. La ville demeure un lieu de forte spiritualité, où subsistent quelques ruines des murailles qui cernaient la ville et la grande mosquée

Pôle Haouz : «Jurassic Zat»

Cet écosystème a pour objectif de valoriser la vallée du Zat, encore méconnue, en préservant et valorisant son patrimoine archéologique. Sa lisibilité passe par la signalisation des circuits touristiques, le développement du Centre d’Interprétation du Patrimoine naturel et culturel de la vallée de Tighdouine, ainsi que par l’implantation de centres d’exposition dédiés au savoir-faire artisanal et aux produits de terroir. Les hébergements, de nouvelle génération, contribuent à élever son attractivité. Sont prévues les mises en valeur touristique des gravures rupestres sur le plateau Yagour, du savoir-faire artisanal local, ainsi que du parapente à Aït Faska et Touama

Aït Ourir

Au Sud-Est de la plaine du Haouz, au pied du Haut-Atlas à une demi-heure de Marrakech, Aït Ourir (670 m d’altitude) est traversé au Sud par le Zat, important affluent de l’oued Tensift. C’est la porte d’entrée de l’Imi N’Zat, long couloir planté de riches vergers et d’oliveraies au bout duquel sera bâti un important barrage hydroélectrique

Vallée du Zat

A une cinquantaine de kilomètres de Marrakech, la vallée du Zat est magnifique et encore peu valorisée. Des villages ponctuent sa partie basse. Au sommet, on atteint le plateau du Yagour

Tighdouine

Fréquenté pour son souk hebdomadaire, ce village donne accès aux sept sources naturelles – dont une d’eau pétillante – réputées dans tout le Maroc pour leurs vertus curatives

Village des potiers de Talatast

C’est un magnifique village aux maisons de pierres rouges, à 45 minutes de marche de Tighdouine

Vallée de l’Ourika

Dans la vallée, à 30 km de Marrakech, la nature et le mode de vie montagnard traditionnel sont préservés. Parmi les sites touristiques à y découvrir. Il y a le petit village de Setti-Fatma, point de départ de nombreuses excursions dans les montagnes proches ;

Il y a aussi Tnine de l’Ourika, petit douar où se tient chaque lundi un souk traditionnel ; le jardin de Timalizene, jardin de montagne planté d’essences locales ; la safranière de l’Ourika, ferme de production du safran, à visiter surtout entre fin octobre et mi-novembre, période de récolte de cette épice ; et l’Écomusée de la vallée de l’Ourika, dans le village de potiers de Tafza, qui promeut la culture berbère par ses collections de photographies, poteries, bijoux, tapis et tissages

Plateau Yagour

Il est situé à 60 km de Marrakech, sur le massif du Toubkal, à plus de 2 700 m d’altitude. Au milieu des moutons et des chèvres, à l’abri des arbres fruitiers, le long des ruisseaux, s’expose le trésor de la région : plus d’un millier de gravures rupestres de la fin du Néolithique. Ce plateau recèle le plus grand nombre de dalles de grès gravées du Haut-Atlas, depuis les pasteurs de la fin du Néolithique jusqu’aux cavaliers de la conquête romaine

Pôle Essaouira : «Archipel Argane»

Cet écosystème met en avant le potentiel touristique des plaines de la Province d’Essaouira, notamment l’arganier. La création de la Maison de l’Arganier à Tidzi et du Musée du patrimoine à Akermoud matérialise sa valorisation. La lisibilité de l’écosystème passe par un info-kiosque à Essaouira et des relais d’information à Aïn Lahjar, Sidi Jazouli, Tafedna. La création des circuits d’interprétation dans la vallée de Aïn Lahjar et à Jbel Amsittene renforce l’attractivité de l’écosystème. La découverte du patrimoine naturel de ce pôle est proposée via un itinéraire touristique qui fait découvrir les principaux sites naturels et d’attractivité de la Province

Arganeraie

Ce pôle comprend l’une des forêts d’arganiers les mieux préservées du Maroc, la première essence forestière de la Province d’Essaouira, juste avant le thuya

Jbel Asmittene

Son plus haut sommet culmine à 912 m. Sa végétation est principalement composée d’arganiers et de thuyas, mais aussi de chênes verts et de quelques chênes-lièges. Il inclut les cascades de Sidi M’Barek ; un paysage sauvage et unique entre dunes et roches, où l’eau coule toute l’année

Agritourisme et terroir

Le pôle comporte plusieurs fermes (fromages et huile d’olive) et des localités réputées pour leur tradition apicole et la qualité de leur miel (comme Aït Daoud)

Oasis Aïn Lahjar

Elle est née d’une source d’eau douce, canalisée, dotée d’un bassin, d’un abreuvoir, ainsi que de canaux irriguant les champs voisins. L’oasis est très riche en végétation (oliviers, palmiers, amandiers, etc.), avec des cultures maraîchères et des champs de maïs

Jbel Lahdid

On y trouve les traces de l’exploitation du fer. Aujourd’hui peuplée d’arganiers, thuyas et genets, la montagne offre une vue panoramique sur l’Océan et la plaine du Draâ

Artisanat local

Essaouira séduit par sa beauté naturelle et sauvage, mais aussi par le savoir-faire de ses artisans, parmi les plus talentueux du Maroc : ébénistes et marqueteurs travaillent avec dextérité et ingéniosité (bois de thuya, fil d’argent et de cuivre, nacre et os de dromadaire) ; des créations que l’on peut imaginer dans tous les intérieurs

Pôle Errhamna-Kelaâ Sraghna : «Echappée Cultuelle»

Cet écosystème touristique valorisera les ressources-clés des Provinces de Kelaâ Sraghna et Errhamna. Sa lisibilité résulte de la signalisation, avec rappel du patrimoine minier (phosphate à Errhamna) et cultuel (zaouïas à Kelaâ Sraghna), tout au long des chemins touristiques. Un info-kiosque renseigne sur l’écosystème. Les anciennes citernes almohades seront réhabilitées. La découverte du patrimoine naturel est proposée via un itinéraire touristique reliant les principaux sites naturels

Barrage Al Massira

La retenue du barrage Al Massira est l’une des plus grandes au Maroc (14 000 ha). L’endroit se prête aussi à la pratique des activités nautiques et de la pêche

Station Verte proche du barrage Massira

Les lacs constituent un patrimoine naturel inestimable, touristiquement encore peu valorisé. Ils offrent une variété de milieux et de paysages, avec une multitude de possibilités d’activités touristiques, grâce à la valorisation du lac du barrage Massira pour rehausser les atouts du lac (faune, flore, etc.) et son environnement immédiat ; créer un produit à forte intensité, spécifique, de la valeur ajoutée locale et améliorer le bien-être des populations (emplois, activités génératrices de revenus, équipements publics, etc.).

Il est proposé de développer une station verte aux abords du lac de retenue, avec un espace de loisirs aquatiques et une base nautique intégrée dans son environnement et des unités d’hébergement. Le projet comporte trois grandes zones :

  • un parc de jeux et de loisirs, créant un cœur de vie autour d’activités dédiées aux familles, pour faire vivre la station toute l’année (mini-aquaparc, parcours accrobranches-paintball-tir à l’arc, parcours de Quad…) ;
  • des hébergements en villégiature, durables, dans un environnement peu construit, organisés autour de l’attraction principale de la station – le parc de jeux – et reliés par une promenade paysagère longeant les berges du lac ;
  • des activités nautiques, privilégiant celles dédiées aux familles comme aux professionnels (la pêche sera promue afin de positionner le site comme destination professionnelle de cette activité)

Réserve naturelle de la gazelle Dorcas

Elle se trouve à Sidi Bou Othmane, sur près de 120 ha

Culture de l’olivier à Kelaâ Sraghna

La Province est réputée pour ses oliviers ; elle est la première au Maroc par sa production

Cactus à Rhamna

La Province concentre cette plante, sur 50 000 ha. Sa culture est en plein développement, avec la production de produits dérivés, notamment cosmétiques

Patrimoine artisanal

Il inclut la poterie de Bouchane à Rhamna, les tapis et le tissage traditionnel

Pôle Chichaoua-Youssoufia : «Quête Dorcas»

Cet écosystème touristique met en avant le patrimoine naturel exceptionnel des Provinces de Chichaoua et Youssoufia. Pour cette dernière, la valorisation de la réserve naturelle de Sidi Chiker est matérialisée par la signalisation des circuits d’interprétation et la réalisation d’un Centre d’interprétation de la gazelle Dorcas. Dans la Province de Chichaoua, le plan d’action pour asseoir l’attractivité de l’écosystème vise la valorisation touristique des sites de El Bateau au Douar Anabdour et des gorges d’Imindounit, la création d’un centre d’exposition des produits apicoles à Mzouda et la création d’un Centre d’Interprétation du Patrimoine immatériel. La découverte du patrimoine naturel du pôle est proposée selon un itinéraire touristique qui fait découvrir les principaux sites naturels et d’attractivité de la Province

Réserve Royale de Sidi Chiker

Cette réserve est l’une des plus anciennes pour la faune terrestre au Maroc ; sur 1987 ha y sont préservées environ trois cent gazelles de race Dorcas originaires de la région d’Al Haouz

Artisanat et produits du terroir

La Province de Chichaoua est connue pour ses produits artisanaux en tapisserie, bijouterie et poterie. Chichaoua est également réputée pour sa tradition apicole et la qualité du miel produit

Sanctuaire de Sidi Chiker

Ce site est exceptionnel par son histoire. Il fut le berceau du soufisme aux premiers siècles de l’Islam. On y trouve les marabouts de Sidi Chiker et Sidi Dahman

Pôle Safi : «A la Rencontre des Artisans»

La lisibilité de la thématique repose sur la signalisation des circuits d’interprétation, la création d’un Centre d’information à Saâdla et de  entres d’Interprétation du Patrimoine à Beddouza et Lamaâchate. Pour renforcer l’attractivité, il est prévu la valorisation touristique des abords de la grotte Gorane ; l’aménagement d’un parcours sécurisé à l’intérieur de la grotte ; et un centre équestre à Hrara, valorisant la tradition équestre de la Province ; Il prévoir la réalisation des aires de repos dans l’arrière-pays de Safi. La découverte du patrimoine naturel de ce pôle est proposée via un itinéraire touristique qui relie les principaux sites naturels et d’attractivité de la Province

Culture et tradition équestre

Le territoire des Abda est particulièrement connu pour sa tradition équestre. La qualité du cheval barbe marocain et le rayonnement de la filière équine dans la région se prêtent au développement du tourisme équestre et d’animations affiliées (ballades, concours hippiques, fantasias, shows de pur-sangs arabes, etc.)

Chasse et spéléologie

La région est giboyeuse (lièvres, cailles, bécassines, perdrix rouges, pigeons sauvages…). On peut chasser au faucon dans la pure tradition locale. Le territoire est également riche en grottes. Celle de Ghar Gorani, au Nord de Safi, abrite des vestiges rupestres et divers objets en argile du Néolithique

Poterie

Safi bénéficie de l’abondance de l’argile et du genêt pout chauffer les fours. Safi fût le premier centre africain de poterie, avec la première école de céramique d’Afrique.

D’importants investissements ont été mobilisés au vu atouts nationaux et internationaux de la destination, en deux séquences chronologiques.

La première étape durant la dernière décennie a concerné le développement de projets à caractère public pour porter la dimension «city break», affaires et loisirs de la destination. Ils ont porté notamment sur la mise en valeur des Médinas – Marrakech et Essaouira – et des sites historiques. Ils ont également concerné les nouveaux équipements culturels et le développement de deux projets majeurs le futur parc des congrès et des expositions de Marrakech (avec prise de participation dans la Société de développement) et la station de sports et de loisirs de l’Oukaïmeden.

La deuxième étape s’est axée sur l’attraction de l’investissement privé, surtout en matière d’animation.

Ils concernent les fonds souverains et les grandes enseignes hôtelières avec lesquelles une douzaine de conventions d’investissement ont été conclues